Lors de l'élection municipale 2014 de Talmay, André Petitjean, conduisant la liste "Défense des Intérêts Communaux", a diffusé plusieurs tracts. À la lumière des événements qui marquent le début de ce mandat, les propos de campagne qu'il a tenu se révèlent mensongers.
L'exemple de mensonge tellement éloquent est celui de la Marpa. Vu l'importance du sujet, il mérite une explication.
En novembre 2014, soit 7 mois seulement après le début du mandat, le conseil municipal s'accorde par délibération, à mettre en vente le bâtiment de la MARPA. La charge des emprunts n'est plus supportable pour la commune et la charge de gestion n'est plus supportable pour l'association.
Pourtant, juste avant l'élection de mars de la même année, A. Petitjean écrit dans un document électoral intitulé "Information aux habitants de Talmay" : (La MARPA a effectivement connu quelques retards, suite à de nombreux décès à la maison de retraite. A ce jour, la situation est revenue à la normale, le retard a été échelonné et se rattrape doucement).
Puis il ajoute :
" Le Bâtiment et le terrain appartiennent à la commune. A la fin du prêt, les générations futures verront les ressources annuelles de la communes augmentées d'environ 140 000 € ".
André Petitjean, maire pendant les précédents mandats, est à l'origine du projet MARPA à Talmay. Il a d'ailleurs été aussi Président puis vice-président (obligé de changer de poste à cause du conflit d’intérêt) de l'association de gestion de cette MARPA. Il est la personne la plus informée de la situation financière de cette structure. Il connait depuis longtemps l'issue fatale, que nous avions annoncée. Cependant, pour se faire réélire, il nie cette situation. Au contraire, il fait miroiter une activité durable, et même très rentable à terme.
C'est un mensonge délibéré, calculé, dans l’irrespect le plus total de la population !
En 2014, le bâtiment MARPA représente 91% de l'endettement de la commune, endettement démesuré pour une si petite commune. Le mensonge sur ce sujet est d'autant plus intolérable.
En conséquence, rester solidaire de ces pratiques, c'est défendre des intérêts autre que ceux de la commune!
En conséquence, rester solidaire de ces pratiques, c'est défendre des intérêts autre que ceux de la commune!
De gauche à droite : Pierre Bordeaux-Montrieux, Michel Gaspard, Yoann Bernardo, Annick Pernin, Pascal Morlot, Lionel Raymond, Ludovic Minot, Valérie Lambert, André Petitjean, Damien Marcon, Marie Fedel, Bernard Martini, Olivier Sanson, Ludovic Millot, Ludovic Lavier.
Documents à télécharger
Les documents d'André Petitjean et de la liste " défense des intérêts Communaux "
Informations aux habitants de Talmay
Liste pour la Défense des Intérêts Communaux
Liste pour la Défense des Intérêts Communaux 2
Lettre Ludovic MILLOT Liste pour la Défense des Intérêts Communaux
Liste pour la Défense des Intérêts Communaux 2
Elles ne chantent plus les poules du vieux coq ?
RépondreSupprimerEn découvrant la réalité de la dette, peut-être qu'elles déchantent.
SupprimerSi les poules ne chantent plus, c'est qu'elles en ont marre de toutes ses histoires,
RépondreSupprimerpour un simple disfonctionnement en 2013 qui a été régularisé (l'établissement est ouvert me semble-t-il depuis 2008), on hurle à la faillite comme si certaines personnes espéraient que cet établissement disparaisse.
Cette dette est tout à fait supportable pour la Commune du fait qu'elle est remboursée par les loyers tirés de l'exploitation de cet établissement, la MARPA n'a rien coûté jusque-là à la commune et par conséquent n'a rien coûté aux habitants de Talmay.
En admettant que le maire connaisse depuis longtemps cette issue soit disant fatale de cet établissement, une chose est claire c'est qu'il ne fuit pas ses responsabilités puisqu'il s'est représenté et à été réélu.
Ce qui est aussi très étonnant c'est que des personnes qui n'habitaient pas Talmay au moment de la réalisation de cet établissement, et qui donc n'ont pas connu les modalités de lancement de ce projet et ses différentes étapes, viennent critiquer la réalisation de ce projet.
L'argument de Mr MAHE selon lequel une commune de la taille de Talmay ne pourrait pas réaliser ce genre d'investissement signifierait que la très grande majorité des communes de France seraient condamnées à n'avoir que des équipements modestes.
La MARPA de Talmay, si sa construction a été autorisée c'est qu'elle a été jugée nécessaire dans un canton de Pontailler sous-équipé.
Que la commune conserve la propriété ou cède, la seule chose importante est qu'il ne lui en coûte rien et que cet établissement continue de fonctionner pour le bien de nos anciens.
on observe bien distinctement sur la photo , plus que le pli , la dechirure entre nos ediles et la population . UNE SORTE DE LIGNE MAGINOT .
RépondreSupprimersachez que toute ligne n est supposee etre infranchissable . a tres bientôt aux prochaines élections !!!
RépondreSupprimerla photo semble un brin désuète ... tout comme la MAJORITE des membres qui la compose . nul ne doute qu en 2020 elle puisse prendre une sacrée teinte sépia ... et ce, pour le grand bien de tous !
RépondreSupprimer(vous entendrez parler de lui ), on vous dira dans le pays ,qu il etait cela ou ceci .. c a m est egal ... BARBARA
RépondreSupprimerSi les impots locaux devaient augmenter de façon significative , ce serait pour la commune une double peine , en effet d une part tres peu de commerces et services publics , mais aussi et surtout un entretien de la voirie deplorable !!! helas ; visiblement , tout le monde s en moque ... NANARD REVIENT !!!
RépondreSupprimerEntretien déplorable de la voirie? Des exemples, svp
RépondreSupprimerNANARD est je crois à la tête de la commission voirie et dans la commission du personnel(?) mais ne va certainement pas critiquer (lol) le travail de son beau-frère
Certains habitants disent que le village n'a jamais été aussi bien entretenu depuis l'arrivée de Thierry, d'autres apparemment disent tout le contraire. Comme sur tous les sujets d'ailleurs, il y a du blanc et du noir.
Et ce n'est pas avec NANARD adjoint-cantonnier que ça va changer
C'est déjà de la politique, mon pauvre Lucien...
TALMAY , une commune sale ... faute a certains administrés peu soucieux du bien commun , jeunes et anciens , soyez donc respectueux du travail effectué par notre poquet , il s y emploi chaque jour avec ardeur , n en déplaise a certains . La jalousie ne doit pas prévaloir .
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