Installé dans le tableau d'affichage, l'exemplaire du compte rendu de séance a été volontairement censuré par le maire de Talmay. C'est une manœuvre absolument inadmissible. Et un énième signe qu'un changement de méthode est nécessaire.
Dans le détail
Un lecteur attentif m'a signalé une différence entre le compte rendu de séance du conseil municipal du 07 juillet, envoyé à tous les conseillers (et disponible en téléchargement sur ce blog) et celui installé dans le panneau d'affichage de la mairie de Talmay. Après vérification, la différence est de taille puisqu'il s'est agi de supprimer la totalité du texte que j'avais lu en début de conseil, et d'effacer au blanc correcteur la mention y référant.
Questionné à l'ouverture du conseil municipal suivant, André Petitjean explique avoir effectivement modifié le compte rendu, parce qu'il ne souhaite pas faire ma "publicité". Puis rapidement, il cherche à clore la question. J'insiste alors sur l'aspect anormal de ce procédé, pour m'entendre dire par Bernard Martini (4ème adjoint) que je fais tout ça pour la gloriole, et par Damien Marcon que depuis le début de la séance, on a déjà perdu assez de temps sur ce sujet. Ces méthodes ne semblent pas les déranger.
J'ai bien sûr une toute autre compréhension de la situation. Au départ, je suis accusé par le maire. Je réagis et je prouve, avec des arguments factuels, que ces accusations sont fausses. Mais le maire censure ma réponse. C'est une faute sérieuse, indéfendable. Pas une histoire de gloriole. Rappelons aussi que ce n'est pas une discussion légère de couloir, mais que nous sommes au conseil municipal. Les conseillers autour de cette table sont élus, c'est à dire qu'ils représentent et portent la voix des habitants. Effacer leurs propos, c'est censurer une partie des électeurs. C'est anti-démocratique et profondément irrespectueux des habitants, et particulièrement de l'équipe municipale dans son ensemble, qui doit travailler dans le respect. Dénoncer ces pratiques abjectes n'est pas une perte de temps.
J'ai bien sûr une toute autre compréhension de la situation. Au départ, je suis accusé par le maire. Je réagis et je prouve, avec des arguments factuels, que ces accusations sont fausses. Mais le maire censure ma réponse. C'est une faute sérieuse, indéfendable. Pas une histoire de gloriole. Rappelons aussi que ce n'est pas une discussion légère de couloir, mais que nous sommes au conseil municipal. Les conseillers autour de cette table sont élus, c'est à dire qu'ils représentent et portent la voix des habitants. Effacer leurs propos, c'est censurer une partie des électeurs. C'est anti-démocratique et profondément irrespectueux des habitants, et particulièrement de l'équipe municipale dans son ensemble, qui doit travailler dans le respect. Dénoncer ces pratiques abjectes n'est pas une perte de temps.
Il suffirait pourtant qu'elles n'aient pas lieu. Pourquoi André Petitjean se permet-il ces actes ? Mon texte n'est pas agréable pour lui, c'est le moins que l'on puisse dire. De même que son accusation initiale ne l'a pas été pour moi.
À la fin de la discussion, le maire a corrigé sa position et atteste que le texte censuré sera affiché dans son intégralité.
Articles liés
Encore une tricherie de Monsieur Petitjean, peut-on encore faire confiance à cet homme? Ne se prendrait-il pas pour le Poutine du village? Qu'en penses ses électeurs!! ou sont les menteurs et les tricheurs?
RépondreSupprimerPOUTINE ! pourquoi pas HITLER pendant qu'on y est...
RépondreSupprimerComment peut-on faire des commentaires aussi stupides !
bibas stagiaire, il serait plus utile d'investir dans un bled de grammaire et de conjugaison...
Comme dit le zig, Indéfendable !
RépondreSupprimer